maandag 22 december 2014

Over organendonatie

Uit het e-magazine “Alternatif bien-être” dat ik nu aan het lezen ben:

L’avis du docteur Jean-Jacques Charbonier,
Médecin anesthésiste-réanimateur à Toulouse et
auteur d’ouvrages sur les expériences de mort
imminente, Jean-Jacques Charbonier a une longue expérience
d’observateur des états aux frontières de la
mort.
« Dans les 15 à 20 secondes qui suivent un arrêt cardiaque,
il se produit une cessation des fonctions corticales
vérifiable par un électroencéphalogramme plat.
Ceci correspond à l’état de mort clinique. Avec les
progrès de la réanimation, il est possible d’en revenir.
Cependant, lorsque la personne est sous assistance
respiratoire, on la considère comme en état de mort
cérébrale irréversible si, après avoir vérifié l’absence
de certains réflexes, on constate soit l’absence de circulation
sanguine dans le cerveau par artériographie,
soit deux électroencéphalogrammes plats espacés de
2 heures pendant une durée de 20 minutes. Ce n’est
qu’à ce moment que l’on a le droit de proposer un don
d’organes. J’ai reçu des témoignages de personnes qui
étaient passées par l’état de mort clinique et qui avaient
entendu des discussions de réanimateurs au sujet d’un
éventuel don d’organes avant de revenir à elles. Avait-on
déjà pratiqué l’ensemble des tests au moment de
la discussion ? C’est peu probable. Personnellement,
je n’ai jamais vu personne revenir à la vie après avoir
été positif à ces tests. Cela semblerait donc être une
sécurité documentée et objective. En revanche, si tous
les tests ne sont pas faits, par exemple si on laisse le
diagnostic à l’appréciation du médecin, c’est la porte
ouverte à des erreurs ou des abus. En France, il semble
que l’on soit à l’abri de telles dérives. En revanche,
en Belgique où la permissivité sur l’euthanasie active
a eu pour conséquence une augmentation exponentielle
des morts provoquées, le danger est à mon avis
réel. Plutôt que de rejeter en bloc le principe du don
d’organes, il vaut mieux mettre en place des gardefous
pour éviter les erreurs et surtout les abus. Les dons
d’organes sauvent des vies. C’est le cas par exemple
quand une mère donne un rein à son enfant. »

Ik had daar al over gelezen en was om die reden altijd wat recalcitrant in deze materie. Pas hierboven lees ik echter een fatsoenlijke uitleg en dus ook argumenten voor mijn blijkbaar terechte vrees voor sommige orgaandonaties.

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